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Première bougie pour Natera : « Cette décision était juste »

Vendredi 28 mars, à Rodez (Aveyron), s'est tenue la première assemblée générale de Natera.

Un an après la naissance de Natera, fruit de la fusion entre Capel et Unicor, la nouvelle entité a tenu, vendredi 28 mars, une première assemblée générale au ton optimiste. Même si « du travail reste à faire pour les filiales ».

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Quasiment un an jour pour jour après la fusion de Capel et Unicor, la nouvelle coopérative Natera tenait sa première assemblée générale, vendredi 28 mars, à Rodez (Aveyron). Les dirigeants ont insisté sur la réussite de ce rapprochement, à l’image de son président Jean-Claude Virenque, qui déclare dans le rapport d’activité : « Les mois ont passé et l’évidence s’est imposée, cette décision était juste. »

Harmonisation des jardineries et de l’agroéquipement

Les résultats économiques sont positifs avec « un Ebitda à 16,5 M€ conforme à ce qui avait été présenté aux banques et un résultat net à 2,3 M€ », fait valoir la coopérative qui rassemble désormais 10 000 adhérents et 1 600 salariés, du Massif central au Languedoc. Le chiffre d’affaires de l’exercice 2023-2024 s’élève pour sa part à 721 M€.

« Les coopératives ont fusionné, mais du travail reste à faire pour les filiales », souligne Natera. Ainsi, le réseau de jardinerie grand public va passer dans sa totalité sous la marque Gamm vert, ce qui n’était pas le cas du réseau ex-Unicor (Point vert/Magasin vert), et toute l’offre agroéquipement sera rassemblée sous l’enseigne Cadauma.

Des questions sur les Halles de l’Aveyron

D’autres projets ont été développés lors de cette réunion. À commencer par le chantier phare : la poursuite des travaux de modernisation de l’abattoir de Gramat (Lot) de la Quercynoise, pour un investissement de 21,5 M€. Fin de chantier prévue dans moins de dix-huit mois.

Une réflexion est également lancée autour des magasins les Halles de l’Aveyron : si ceux d’Onet-le-Château (Aveyron) et Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) semblent tirer leur épingle du jeu, ceux d’Herblay-sur-Seine et Saint-Gratien (Val-d’Oise) souffrent toujours. La coopérative veut donc « évaluer la pertinence économique d’un nouveau concept ». Il y a cinq ans déjà, Unicor évoquait des pistes pour faire évoluer l’enseigne.

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